<p><font size="2"> art, contemporain, exposition, peinture, sculpture, photographie, performance, video, installation, actuel, lieu, lyon, mairie, saint rambert, neuvieme, neuvième, 9eme, start/up,<br><br> <br>vit et travaille à Lyon<br><br>Expositions personnelles (sélection)<br>1990  Galerie d'Oppenordt, Marseille<br>1994  Galerie la Tournelle, Poët-Laval<br>1997  Espace Arts Plastiques,Villefranche sur Saône<br>1997 Galerie Olivier Houg (espace libre), Lyon<br>2000 Galerie HP, Eybens<br>2001 Palais de justice, Lyon<br>2002 Galerie IUFM Confluence(s), Lyon<br>2004 Galerie Françoise Besson, Lyon<br>2005 Galerie Françoise Besson, Lyon<br>2006 Territoires partagés, Marseille<br>2008 L'attrape couleurs, Lyon<br><br>Expositions collectives (sélection)<br>1986 Galerie du Haut Pavé, Paris<br>1991 Galerie d'Oppenordt, Marseille<br>1992 Les courants d'art, Lyon <br>1997 Galerie Olivier Houg, Lyon<br>1999 Galerie Olivier Houg, Lyon<br>2003 La Chair et Dieu, Lyon<br>2006 Langues plurielles, Lyon I<br>2007 Art Room avec Daniel Clarke, Galerie Françoise Besson Thônes<br>2007 Fragilités au présent Atelier 48, Galerie Françoise Besson Lyon<br>2008 Soff (So Feucking French), Londres<br><br><br><br>Les formes et le monde<br>Que se passe-t-il lorsque nous avons cessé de contempler des tableaux et que nous regardons le monde autour de nous ? Sont-ils toujours là ? S’attachent-ils à notre conscience pour transformer notre vision? Ou bien est-ce que l’esprit les refoule et les garde pour d’autres délectations ? Est-ce que les formes de la peinture « existent » au milieu d’une foule ou sur une voie d’autoroute ? Voire !<br><br>C’est pourtant une proposition recevable. La peinture n’entre pas en concurrence avec le réel mais peut parfois résonner avec lui. Toutefois, ce n’est pas un enjeu de restitution littérale : il ne s’agit pas de « présenter » une image du monde mais plutôt de tenter d’en « représenter un être au monde », une façon de vibrer avec lui. Sans grandiloquence ni carrière mystérieuse.<br><br>Ce que l’on voit dans mes tableaux ce n‘est pas un sujet. Plutôt une collision de motifs mis en relative cohérence. Figure et structure industrielle, nature et figure, nature et bribes d’architecture. Le traitement de ces motifs en peinture ouvre à une réminiscence (souvent une sensation, un climat, une saison ou une localisation biographique, un paysage de l’enfance). <br>Dans le même temps les premiers termes de questions commencent d’être posés : qu’est-ce que je vois ? Pourquoi cela m’importe ?<br>Il y a du délaissement de ce que l’homme a fait, il y a du paysage proche ou lointain, il y a des choses qui n’étaient pas là auparavant et qui maintenant y sont. Avec la force hypnotique et fragile des choses vues en rêve.<br>Je ne présente pas cependant un catalogue de mes obsessions. J’essaie de rendre visible un point de vue à partir duquel le regardeur fera son parcours.<br>Clément Montolio<br> <a href="http://www.attrape-couleurs.com/">retour</a> <a href="http://www.attrape-couleurs.com/actu.html">actualités</a> <a href="http://www.attrape-couleurs.com/prog.html">programme</a> <a href="http://www.attrape-couleurs.com/pres.html">presentation</a> <a href="http://www.attrape-couleurs.com/lien.html">liens</a> <a href="http://www.attrape-couleurs.com/cont.html">retour</a> </font></p>