« On entend sans cesse que « la crise » n’offre aucune perspective d’avenir. En particulier pour notre pauvre jeunesse désœuvrée. Et il semblerait que l’ennui accompagné d’une certaine frustration due au fait que l’on nous intime de travailler alors qu’il n’y a pas de travail, tout cela ferait que les gens pour se sentir vivants partent faire le djihad ou d’autres choses qui ne correspondent pas à l’idéal de société que nous vend les médias. La croissance est sur toutes les lèvres, et c’est justement le sentiment de la vacuité de la vie qui croit. »
(voir communiqué de presse)