Soirée événement 18 mai

Publié le 14 février 2019 dans Événements, Événements 2019

Détail de l’installation « Balise » de Laurent Pernel

 

À l’occasion du vernissage de l’exposition à la jetée du lit de Cécile Meynier :

– ouverture de l’atelier d’Anne-Sophie Convers, artiste en résidence d’avril à juin

« Mes peintures porteront les symptômes objectifs de l’ordre et de la grille, perceptibles à travers des symétries aussi éclairées qu’un miroir au mercure. Pour ne pas déroger à la règle du jeu initial, la frontalité des formes sera source de frustration. Et puisqu’il ne s’agirait pas d’obtenir une abstinence pathogène conforme aux obsessions vicieuses d’un panoptique, la mort sera envoyé dans le décor. Pour cela je présenterai mes recherches sur toiles déjà teintées, libres sans châssis, ces parades visuelles seront comme des étendards aux forces de frappe plus ou moins entendues. » Anne-Sophie Convers

– inauguration de l’œuvre Balise de Laurent Pernel sur les volets de L’attrape-couleurs

Chaque année depuis 2012, L’attrape-couleurs invite un ou une artiste à investir les volets extérieurs.

– lancement du 9e et dernier numéro de l’a3 par Tatiana Karl Pez

Lancé en 2016, L’a3 est une collection de multiples édités et diffusés par L’attrape-couleurs : chaque proposition prend la forme d’une impression numérique format A3, tirée en 30 exemplaires numérotés et signés.

De l’organisation collective, à la collaboration privilégiée avec des binômes, la pratique de TKP acquiert depuis quelques années, une véritable dimension protéiforme, traçant des allers-retours entre objets, situations, performances dont les objets scénographiques sont détruits ou redistribués, gestes chorégraphiés et poèmes pour la radio. Elle contourne pour mieux circonscrire une tentative, celle de pouvoir parler d’un corps absent, d’un geste en train de se faire, sous des modalités, des identités multiples et mutables. Pour la sortie de cet ultime numéro de l’a3, elle propose « c’est le monde souterrain », une dérivation graphique du poème du même nom, tirée à 30 exemplaires uniques.

Tatiana Karl Pez vit et travaille entre Bruxelles, Toulouse et Paris. Elle performe notamment au Musée d’Art Moderne du Havre (MUMA), au MAMC de Strasbourg, au Grand Palais à Paris lors de la Nuit des Musées, mais également dans la friche artistique de Mains D’œuvres à Saint-Ouen. Elle a donné des ateliers à l’École d’Arts Dramatiques de Sumatra en Indonésie et à l’école de Cergy. En 2018, Elle a présenté “Tu Brûles”, une exposition personnelle dans le cadre du programme curatorial « Retour de l’affect» initié à la galerie 0.15 // Essais Dynamiques, à l’Université de Lorraine à Metz. Elle est actuellement en résidence de recherche au sein de Artistes en Résidence, à Clermont-Ferrand.

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